1-1   Origine de l’idée, et son cheminement :

Elle est certainement  liée à l’association d’observation et de déduction à la fois empirique et logique :

La première fois où l’embryon de cette théorie a émergé, il y a un peu plus d’une trentaine d’année, un de mes oncles me fit découvrir le principe du thermosiphon, l’objectif était de réchauffer son jardin : il faisait circuler de l’eau entre deux radiateurs, un  sur le toit de sa maison, et l’autre placé dans la terre de sa serre.

Vers la même époque un film est passé sur les écrans, il sera d’ailleurs intéressant de retrouver le titre, de savoir s’il retraçait une histoire vraie :

L’histoire commençait par un avion bimoteur  s’écrasant dans le désert où les rescapés avaient reconstruit, avec les restes, un autre avion mais avec un seul  moteur.

A la fin, le pilote démarra l’avion, grâce à des cartouches, puis  ils s’envolèrent, les autres allongés sur les ailes en se cramponnant.

Durant le film, Ils avaient fabriqué, Un alambique permettant d’obtenir de l’eau. Suite à mon interpellation, mon père m’a expliqué le fonctionnement. ( le clapet anti-retour ici  présent permet de réalimenter la cuve en air relativement frais chargé d’humidité. (dans le désert en pleine chaleur, autour de 30%)

Après l'obtention d'eau,  une tempête arriva.

Un jeune esprit ayant moins d’opinions préconçues qu’a son âge adulte, ce permet plus facilement de créer des  corrélations.

 

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Vers l’âge de 12 ans,  avec mon père qui pilotait des avions de tourisme, les courants d’air ascendants et descendants m’ont intrigué,  ce qui était du à la réflexion du soleil sur le sol de couleurs différentes : au-dessus d’un champ de blé l’avion montait, et lorsqu’on survolait une rivière l’avion chutait de quelques mètres du à un manque de sustentation.

 

 

 

 

Plus tard, pendant les cours de physique du DUT, la définition d’un corps noir a été abordée :

Celui-ci étant refroidi absorbe toutes les fréquences, et inversement.

 

 

 

 

 

 

En 1996, j’ai réalisé un site hébergé par Club-internet (http://perso.club-internet.fr/cobio ) sur le principe de ce moteur solaire.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A ce moment précis, pensant que ce but demandait des moyens considérables,  pour le faire aboutir plus rapidement, je préférais  le faire tomber dans le domaine public. Cependant, des enveloppes solo ont été  déposées et des demandes de publication auprès des éditions Lavoisier et de la société Air liquide sur des informations concernant le spectre de  l’énergie solaire et les caractéristiques de l’hélium ont été contractées.

Des Suisses, des Canadiens semblaient être intéressés, par contre comme beaucoup, ils étaient près à prendre, sans aucune  proposition d’aide aux développements du concept.

Les Japonais, également  intéressés, néanmoins des problèmes d’écriture et de langue étaient difficilement surmontables..

Sensibilisé aux exigences rencontrées par les différentes façons de penser, les voyages en URSS, Arabie Saoudite, au MAROC et mon passage dans de multiples entreprises (dont la dernière orientée sur la cogénération) m’ont aidé à faire évoluer et mûrir ce projet.

Sans avoir la prétention de répondre exhaustivement à un besoin, je pense qu’il est plus facile d’en créer un nouveau plutôt que d’y répondre directement.

L’utilité du système pour  certaines personnes, notamment les pays en voie de développement peut concrètement se formaliser. Jusqu’à l’année dernière, il me manquait  comment matérialiser financièrement le retour sur investissement.

Restant persuadé qu’il est possible d’exploiter l’énergie contenue dans la différence d’enthalpie entre le jour et la nuit, ne serait ce que dans le désert, pour alimenter des antennes pour téléphone portable (le développement passant par la communication), cette utilité répondrait aussi bien à un désir de notre société de  consommation qu’à d’autres coupées du monde.

Dans les pays en voie de développement, partant de l’air pour produire de l’eau (celle-ci étant une matière première à exploiter), cette production créait des dépressions atmosphériques  induites, celles-ci par voie de conséquence, restant à démontrer, engendreraient une augmentation de la pluviométrie (cette dernière restant à être quantifiée). Ces propriétés peuvent  répondre à un souhait de développement aussi bien au niveau de la chaîne alimentaire que de la personne proprement dite.

Il faut savoir que cette eau distillée est impropre à la consommation, qu’il sera utile au préalable de la minéraliser, cela ne doit pas être une grande difficulté, ce processus se réalise tous les jours et naturellement.

Pour consolider ce projet, il lui était nécessaire de décaler dans le temps (Jour <-> nuit) l’utilisation d’une réserve énergétique froide, appelée puits froid et une réserve d’énergie chaude, si on voulait produire la nuit. Or un procédé d’accumulation thermique ayant reçu le prix européen de l’innovation de l’an 2000 (au japon certains ont fait plus fort), a été breveté. C’est le chaînon manquant’ du moteur.

Le principe du moteur Type III répond aux besoins de production d'eau iniquement ce qui traduira une réduction des coûts globaux du projet, en revanche il sera plus difficile d'établir le retour sur investissement.

 

Origine de l'idée

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